mardi 14 juillet 2015

la cigale et la fourmi

http://www.amazon.fr/gp/product/1514779889?keywords=la%20cigale%20et%20la%20fourmi&qid=1436022239&ref_=sr_1_17&s=books&sr=1-17
c'est une mise à jour de la célèbre fable de monsieur Jean de la Fontaine

dimanche 19 janvier 2014

l'esclavage dans le monde moderne

   Tous nos bons moralistes et autres politiciens s'entendent régulièrement à conspuer les pays où l'esclavage existe encore mais que font ils, eux?
  Jusqu'à l'invention du rmi ( rsa ), leur discours pouvait encore tenir debout, chaque personne pouvant gérer sa vie financière à sa façon. Ce revenu minimum et les allocations incluses dans ce pack fournissent à la personne de quoi subvenir aux besoins primaires, manger, se laver et se loger.
  Pour certains de ces rmistes, le smic fait presque rêver avec le double de revenu qu'il leur accorde. Mais qu'accorde-t-il de plus?
  La différence permet de s'habiller de la manière adéquate pour son travail et de payer ses déplacements pour se rendre à ce travail. Les plus économes peuvent s'octtroyer un plaisir dans le mois pour se donner l'impression d'avoir plus que celui qui ne travaille pas.
  En gros rien de changer depuis la rome antique où les propriétaires d'atelier ou de terres avaient des esclaves pour principale force de travail. Ce n'était pas gratuit, ils avaient des couts de toutes sortes qui existent encore de nos jours.
  Le premier cout de l'esclave est à l'achat. L'achat est maintenant remplacé par l'éducation et la formation, qui sont des couts essentiels pour assurer un bon rendement futur. Les coûts suivants cet investissement de base sont le logement et l'alimentation, ainsi que l'hygiène de base pour les plus consciencieux des propriétaires, un cout que l'on ne peut quantifier en chiffre mais quels sont les seuls dépenses que permet un smic de nos jours une fois le loyer et l'alimentation payé? en général, il reste juste assez pour l'entretien de la vieille voiture qui permet juste de se rendre au travail et d'en revenir en priant pour que le moteur ne casse pas. Si le moteur casse, le smicard est condamné à être remplacé par un esclave ( rmiste ) en attente chez monsieur paul emploi le marchand d'esclave officiel.
  Une fois remplacé par un "chanceux" qui va de nouveau pouvoir dépenser sa force, l'esclave redevient un rmiste qui voit seulement ses besoins primaires financés, il n'a pas besoin de plus, il n'a plus de frais de transport.
  Une belle transposition de l'esclavage à notre époque qui voit même se conserver les règles d'affranchissement. Dans le monde antique, tout esclave pouvait racheter sa liberté, soit financièrement soit lors de glorieux combats dans les arènes. Car la devises du pain et des jeux existent encore, et les jeux de loterie donnent l'espoir à chacun de pouvoir racheter sa propre liberté et enfin commencer à vivre pour soi.
  Quand aux arènes, pas encore mur pour voir des gens s'entretuer, notre beau monde a inventé la télé réalité où tout un chacun a le droit d'aller s'humilier et se dégrader pour parvenir à sortir de la plèbe et devenir un citoyen au dessus du lot.


Mais ceci n'existe pas, l'esclavage est interdit depuis longtemps, la preuve, les fouets ont disparus des ateliers et des champs.

jeudi 16 janvier 2014

Pourquoi pas la suppressions des départements

  Oui, nous sommes tous attachés à nos départements. Mais quelle a été la raison de leur création?


  Tout le monde sait, du moins parmi ceux qui ont eu la chance de fréquenter l'école d'avant les années 90, que ces départements ont été crées par Napoléon Bonaparte. Il les a conçu dans une logique de décentralisation, éh oui déjà. La grandeur du pays ainsi que la diversité des reliefs gênait la bonne marche des administrations aux yeux de cet homme qui a su asseoir son efficacité militaire sur la rapidité et entend bien prolonger cette stratégie dans la gestion du pays. Comme tout militaire de valeur, il avait compris que la rapidité était la clé du succès. A l'échelon civil, cette rapidité concerne les communications. Et celle-ci ne sont pas aisé dans un pays aussi grand et centralisé quand elles se font à cheval et doivent toutes partir de Paris pour rejoindre ensuite chaque mairie, la commune est la première subdivision de l'état ( colonie à part ).
  Dans sa logique toute militaire, il envisage un quadrillage de l'hexagone, dont chaque partie serait géré par un préfet chargé d'organiser la mise en œuvre des décisions nationales sans que les informations soient obligées de transiter de nouveau par Paris ajoutant plusieurs jours voire semaines avant qu'une décision finale soit prise. Donc se basant sur ces données et la rapidité d'un cheval, il pris la décision que le chef lieu de chaque département puisse être rejoint par les administrés en une journée de cheval quelque soit leur lieu de résidence.
  Une décision qui a connu et connait le succès que l'on sait.
  Celle ci fut suivi par celle incompréhensible de créer les régions en 1982, incompréhensible par la manière dont elle fut réalisée en laissant les régions en place car les moyens techniques en communications permettent actuellement à toute personne de chaque région de faire l'aller retour entre chez elle et la capitale régionale dans la journée, quand le service désiré n'est pas directement disponible en mairie, qui a reçu une grosse part des tâches des départements, ou via internet ( qui n'existait pas en 1982 bien sur).
  De là à croire que la création des régions dans un puzzle déjà bien morcelé ne fut qu'une manœuvre créatrice d'emploi comme beaucoup d'embauche dans les épic et administrations de l'époque pour lutter contre un chomage grandissant, je vous laisse conclure.
  Mais maintenant, à quoi bon conserver ce département et ses cantons entre l'administré et la région quand les communes tendent à disparaitre derrière des communautés de communes et que les régions sont devenus des lieux que l'on peut traverser aisément en tous sens en étant chez soi le soir venu.
  Encore une belle broutille que ce nouveau redécoupage voulu, car en toute objectivité si ils voulaient vraiment faire de l'efficace, il supprimerait les départements, mais ainsi se mettrait à dos tous les fonctionnaires et amis socialistes qui y trouvent des places assez sympathiques pour qui ambitionne d'une carrière plate et paisible jusqu'à une retraite en pleine forme.


  Par contre, en étant subjectif, ne touchez pas mon Jura et ne mettez pas ma Franche-Comté avec la Bourgogne.
  Nous ne sommes pas les sans cultures ni identités que vous désirez parquer dans votre europe soviétique, nous aimons nos racines, et comptons les garder
 

mardi 14 janvier 2014

de zones de non droit à zones de guerre

"Dimanche matin, des centaines de membres de ces milices déterminées à en finir avec la terreur des cartels ont fait irruption à bord de plusieurs véhicules à Nueva Italia, ville de 40 000 habitants considérée comme un des fiefs des Chevaliers Templiers."


  Non, cet article de presse ne traite pas de la guerre en syrie ou d'une autre guerre dans le monde, il a juste pour sujet une guerre qu'il ne faut pas trop médiatiser bien que le nombre de mort journalier sur le sol de ce pays soit plus élevé que celui qui est relevé en syrie par nos médias désireux de voir bachar quitter le pouvoir.
  Cette guerre, car c'en est devenu une se déroule au Mexique. Oui dans le pays de vos jolies vacances à Cancun. Car loin des plages et des bars à cocktail, il est des villes entières qui sont devenues des zones de non droit. Dans ces villes, les militaires comme les policiers ont jetés l'éponge et abandonné l'idée de reprendre le contrôle des rues et administrations entièrement sous la coupe de cartel.
  Des narcotrafiquants ont petit à petit franchi le stade de revendeurs indépendants pour devenir des vrais maitres féodaux doté du pouvoir de vie ou de mort sur chacun des vassaux vivants dans leur fief. Cela ne s'est pas fait du jour au lendemain.
  Au début de l'histoire, il était une fois des petits jeunes sans réelle perspectives d'avenir qui se regroupent et organisent un petit point de deal sous le regard bienveillant de la police voire des autorités locales. Le commerce grandissant au même rythme que leur impunité devenue une réelle peur des autorités locales plus que le résultat de la corruption, les petits trafiquants ont fait grandir leur territoire de non-droit jusqu'à s'accaparer des villes d'importance sous les yeux d'un pouvoir devenu impuissant. Le pouvoir n'a pas pu ou pas voulu agir quand il était encore possible de maitriser la situation. Le résultat en est une vision digne de mad max.
Une milice d'autodéfense à Nueva Italia
 
  Ces blindés bricolés artisanalement ne sont pas ceux de l'armée ni de la police, ce sont des milices d'auto défense qui se sont crées pour lutter contre le malheur qui entravent la marche vers le bonheur d'une vie paisible des citoyens honnêtes.
  Devenus de vrais soldats, voire même meilleurs, car eux combattent avec leur cœur et pour leur famille et l'avenir de leurs enfants, ils reprennent des villes que l'état n'a pas pu reprendre et ce au prix de durs combats.
  Vous me direz le Mexique c'est loin et c'est une autre mentalité, mais n'y a t il pas des zones de non droits grandissantes en France, des zones que l'état abandonne doucement.
  S'il vous plait, messieurs les garants de l'ordre public et de la sécurité de vos citoyens électeurs, ne pourriez vous pas vous pencher un peu sur l'évolution de la situation mexicaine pour nous éviter de voir mad max devenir une réalité dans nos rues.




http://actualites.ch.msn.com/regain-de-tension-dans-le-michoacan-mexicain

lundi 13 janvier 2014

Faites ce que je dis.....

....pas ce que je fais!


  Non, ce n'est pas Cahuzac qui est l'auteur de cette phrase le décrivant pourtant à merveille. C'est juste une phrase qui pourrait devenir la devise socialiste au rythme òù vont les choses.
  Monsieur le présigland nous le montre merveilleusement bien.
  Alors qu'il venait de remporter une grande bataille ( contre la nature et ses complexes en séduisant la jolie julie), nous le retrouvons à s'indigner du traitement de son actualité intime dans les médias. Ces honteux médias oublient de souligner qu'il a enfin réussi à s'émanciper de sa mégère élyséenne en nous prouvant dans le même temps que lui aussi a un potentiel strausskahnien. Lui qui se voyait en présidentiable à la place de DSK se voit juste placé en salaud.
  Tu as bien raison de t'indigner monsieur le présiflan, mais avant de critiquer cet étalage de ton intimité, il serait de bon ton que tu fasses un retour dans ton passé pour feuilleter les vieux numéros du magazine de ta cocue. N'est ce pas toi qui étalait dans les pages peoples ton intimité et instrumentalisait tes enfants en compagnie de ton ex, notre pintade rose du Poitou?
  Allons mon bon flamby, sois bon joueur et avant de te ruer contre les journalistes qui t'ont afficher et de les faire mettre à la rue par la police de la pensée que ton ministres de l'interdiction d'expression a mis sur place, profites un peu de ce traitement qui attend tous les citoyens de cet ancien pays des ex-droits de l'homme ou tout le monde sera soumis à un espionnage en règle de la part des grandes oreilles.
  Oui, cette information est un peu passé à la trappe derrière l'énorme rideau de fumée de tes affaires de séducteur. Tu es sous le feu des projecteurs et a la chance d'être au courant alors que la nouvelle loi de programmation militaire fera de chacun de nous la cible potentielle de tes services de renseignement au nom de la lutte contre le terrorisme, juste de la lutte contre le terrorisme, nous te croyons bien volontiers, surtout avec ton ministre de la pensée qui place dorénavant toute personne hors des clous de la bonne morale socialiste comme terroriste de la pensée.
 Te voilà bien dans la posture classique de la morale socialiste à deux vitesses.
Faites ce que je dis pas ce que je fais!
  Ben moi ce que j'en dis, c'est que tu nous prends un peu beaucoup pour des cons

vendredi 10 janvier 2014

Crise: Période difficile, situation préoccupante.


  Cette définition a peut être été comprise par le gouvernement au vu de sa rapidité à se saisir du dossier Dieudonné et de la violence de sa réaction. Ils nous ont montré leur capacité d'action pur réagir à cette situation préoccupante dans une période difficile pour leur côte de popularité.
  Par compte pour ce qui est de la vraie crise traversée, nous restons face à un vide total et à une totale incompréhension du problème qui reste pour eux un problème de sondage et d'opinion comme le montrent leur discours et les mots employés.
  Les mots crise, chômage et désindustrialisation reviennent constamment dans leur discours. Cette répétition permanente et cet emploi de ces mots nous fait rêver de leur volonté d'agir mais comment peut on croire qu'ils ont compris.
  A chaque fois la crise est évoquée comme un être propre, il en est de même pour le chômage et sa courbe en inversion imperceptible.
  "nous allons lutter contre le chômage" est devenu le mot d'ordre, mais dans le même temps "la crise est derrière nous" suivant leur méthode cauet. Ces deux phrases reviennent régulièrement sans qu'il ne fasse un lien entre les deux. Eux qui, à l'ENA, ont appris à placer le mot conjecture dans chacun de leur discours semblent en avoir oublier le sens.
  La conjoncture est simplement un ensemble d'éléments qui convergent pour s'unir en un point à un moment donné et qui provoquent une ou des conséquences. Ici nous avons donc une crise qui est la conjonction de plusieurs facteurs économiques, industriels, démographiques et politiques (dette) et cette crise contient en elle même des conséquences diverses dont le chômage n'est que la partie émergé de l'iceberg.
  Ces éléments pris en compte, nos gentils socialistes nous confirment avoir bien compris le problème et annoncent une lutte sans précédent contre le chômage mais sans changer leur politique générale. Ils entendent donc trouver du travail aux français sans s'attaquer à aucune des conséquences, comme si le chômage n'était qu'un être malfaisant qui peut être terrasser, le combat de David contre Goliath, avec un flamby et ses petit bras courageux contre la bête.
  Observez bien et vous verrez mieux cette personnalisation des ennemis comme l'est aussi le marché qui est devenu un être à part entière et non une multitude d'acteurs interagissant.
  Un tel comportement est indigne, comment des dirigeants peuvent ils avoir fait des carrières entières avec des responsabilités et être arrivés à leur âge sans avoir compris que pour vaincre un problème, il faut s'attaquer à sa cause, le mal doit être pris à la racine nous rappelle la sagessse populaire et ses bons dictons, mais de populaire ils n'ont plus rien ces apôtres de l'anti populisme.



mardi 7 janvier 2014

un pas de plus vers la destruction stalinienne de Dieudonné

  Une nouvelle étape a été franchi vers la destruction de Dieudonné par le régime et ses sbires zélés. Le voilà maintenant accusé de détournement d'argent, il aurait envoyé de grosses sommes d'argent au Cameroun.
  Est il besoin de rappeler qu'il avait déjà admis durant une interview qu'un village camerounais vivait grace à lui. Mais ce geste qui lui avait valu une aura de sympathie aux yeux de nos bons biens pensants qui avaient même décerné un prix de l'innovation à un jeune des cités qui avaient monté une entreprise spécialisé au transfert d'argent vers l'Afrique ( il avait juste repris le principe Western union à son compte), risque de se transformer en talon d'Achille pour ses assaillants. Enfin, ils ont trouvé une base d'attaque légale pour le détruire.
  La destruction sera financière et ravira certainement Christophe Barbier de l'Express qui avait lui même conseillé de le détruire financièrement à défaut de ne pouvoir contrôler les propos de Dieudonné et ce maudit internet qu'il regrette de ne pas pouvoir faire surveiller aussi efficacement que la chine des droits de l'homme pour laquelle il a soudainement de l'admiration au nom de la liberté d'expression bien sur.
  Ce chantre des droits de l'homme avait suivi instinctivement ses maitres dans la stalinisation de l'EURSS, nom non officiel de l'union européenne. Mais il ne fut pas le seul à confirmer ce désir de contrôle des libertés, notre défenseurs ultime de la démocratie et du respect de la déclaration des droits de l'homme qu'est notre président a lui aussi donner son aval à ses subordonnées pour détruire Dieudonné. Une belle idée de la démocratie que ne renierait certainement pas Staline dont l'emploi des techniques les plus brillantes avait même été suggéré par un journaliste dans les pages de libération, encore lui. Il s'agissait ni plus ni moins que de faire interner Dieudonné, c'est du moins ce qui était écrit en interligne dans ce brillant article aux relents nauséabonds.
  Une technique d'un autre temps vite éclipsée par la tout aussi brillante intervention de Klarsfeld proposant aux opposants de dieudo de créer eux même le trouble à l'ordre public devant les salles où se produit l'humoriste pour justifier une interdiction de spectacle.
  Toutes ces belles méthodes ne se verront pas utilisé grace à ce nouvel angle d'attaque sur base de détournement d'argent.
  Une méthode qui, je me souviens bien avait violemment invectivé le président poutine lors de la mise en cause de son principal opposant Mikhaïl Khodorkovski pour une sombre histoire de détournement d'argent. Une histoire de détournement que nos biens pensants de gauche avait dénoncé comme une manipulation des plus grotesques et impossible.
  Il sera de bon ton de rappeler qu'avant que poutine n'agisse, le mis en cause était déjà poursuivi par une plainte suisse pour les mêmes raisons.


  La France est donc une belle démocratie avec un respect immense de la liberté d'expression tant que celle-ci est conforme aux consignes du parti.


  Bientôt dans vos kiosques la Pravda et le volkischer beobachter version francisé et actualisé pour coller à l'air du temps et à ses étranges relents.